–  Revue de presse

«Une réforme des cours d’éducation sexuelle à Genève fait débat», RTS

Actuellement, les formateurs et formatrices donnent des cours d’éducation sexuelle du primaire au secondaire 2, mais ils sont aussi sollicités par les écoles pour répondre à des problématiques qui interviennent sur le terrain, comme pour des cas de harcèlement. Avec la réforme, une partie d’entre eux serait uniquement dédiée à l’enseignement et une autre préparerait les cours et les projets. Leurs représentants estiment que cela constituerait une grande perte, car ce ne serait plus les personnes en contact direct avec les élèves qui prépareraient les cours. Ils craignent qu’elles soient alors déconnectés de la réalité du terrain.